- Pierre du Pin 1904m
- Belledonne -
Raquettes
Dimanche 26 novembre 2017
Départ : La Ferrière 930m derrière l’école.
Arrivée : Pierre du Pin 1904m
Dénivelé : 1180m cumulé / 13km / circuit en boucle
Horaire: montée : 3h45 Descente 2h45 ;7h15 avec pause ;
Itinéraire : circuit La Ferrière 930m ; Le Muret ; Le Jas ; 1535m ; Les Lanches 1686m ; Croix du Leat 1825m ; Pierre du Pin 1904m ; Croix du Leat ; Lac du Leat Chalet du Léat 1719m ; « raccourci sous le Crêt du Tambour » ; 1567m ; Buclin ; Pralot ; erreur = Le Fangeat ; 978m ; Le Grand Thiervoz ; le Petit Thiervoz ; La Ferrière. Bière : Bar à Allevard.
Difficulté : T2 . Marcheurs entrainés. Pas de passages techniques (Parcours en sous-bois ; alpage ; lac ; refuge).
Matériel : Raquettes (Pelle-sonde-DVA auraient du être porté pour aller dans des pentes plus fortes)
Accès : départ Pont-Eveque: 6h45 ; Grenoble ; Allevard ; La Ferrière ; 150km ; 2h00
Carte : IGN 3433OT
Météo : Nuages avec nombreuses éclaircies
Participants 11 : Evelyne, Isabelle, Jeanne, Elizabeth, Nadine, Chantal ; Fabrice ; Michel ; Paul ; Simon ; Pascal
Grosse affluence pour cette sortie absolument magnifique dans Belledonne. La neige fraiche n’y est pas pour rien. Autant de neige en novembre devient une rareté en tout cas depuis trois ans. Difficile de mettre des mots devant tant de beauté naturelle, les photos seront plus convaincantes.
Quelques détails tout de même.
Tout d’abord la rencontre avec une course de trail, baskettes et short pour certains et certaines, croisés à la jonction venant de la Bourgeat Noire et du chalet du Bout. La trace était du coup faite dans la neige profonde : merci. Mais la prochaine fois, merci aux trailers de faire une trace plus large mieux adaptée aux passages des raquettes !
Le Refuge du Léat à coté du Lac gelé refait depuis peu, est simple et sympathique.
Le Raccourci suivant un chemin noté sur la carte mais introuvable sur le terrain sous la neige, comme beaucoup de raccourcis, nous a fait perdre beaucoup de temps et donné l’occasion de jouer aux sangliers en hiver. Et que je te soulève la raquette à hauteur des épaules pendant que l’autre s’enfonce dans un mètre de poudreuse. Un point positif acquis quand nous avons rattrapé le bon chemin exactement à l’embranchement prévu. Le hasard, un peu guidé, fait parfois bien les choses. Certain, mais surtout certaine étaient dans le doute quant au coté maitrisé de l’opération hum ! En fin de randonnée, le soleil et la lune se battaient pour éclairer à qui mieux-mieux les montagnes enneigées et les pentes du Pic de la Belle Etoile. Tiens voilà une destination à retenir pour le printemps. Du coup, pris dans la féérie, nous avons prolongé le retour d’un kilomètre et demi par la route. Pascal
